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Hier soir on est assis à table ma douce, fiston et moi. On a oublié la télé ouverte après le téléjournal alors en fond sonore j'entends un gars se faire avoir sur une question stupide au jeu 21. Automatiquement, je me dis que celui-là s'est fait avoir sur une question disons... chienne. Hé bien je ne vous dis pas le plaisir que j'ai eu en allant faire ma visite sur le blog du copain Max ce matin. Toutes mes sincères condoléances mon cher mon oncle Yves!
avril 28, 2005 | Lien permanent | Commentaires (3)
avril 28, 2005 | Lien permanent | Commentaires (1)
Je suis allé « gazer » ce matin. Ça m'a donné une idée. Je la referai « au propre» quand j'aurai une minute. Et puis non, je n'ai pas de Hummer!
Voilà!
Petit illustrator de deux heures. Je sais que beaucoup n'aiment pas le style trop plastique d'Illustrator, mais j'ai tellement de plaisir à travailler avec ce logiciel!
avril 27, 2005 | Lien permanent | Commentaires (19)
Je ne suis pas le gars qui écoute beaucoup la télé. Et pourtant, j'ai vu cette pauvre fille tomber sur le cul au moins 20 fois depuis samedi matin. L'autre jour, je vous parlais de « défloboxanie », en voilà l'exemple parfait!
avril 26, 2005 | Lien permanent | Commentaires (10)
Je commence à devenir un vrai blogueur.
Depuis 2 mois que je fais ce blog, je commence à avoir ma petite promenade quotidienne sur le sentier du blog. En voilà deux que je fréquente presque tous les jours : Bar chez Mo pour les conneries un peu machos. Misanu, une jeune femme qui s'exprime avec autant de talent que de vérité.
Je vais les ajouter dans mes liens.
avril 24, 2005 | Lien permanent | Commentaires (5)
Une adresse à la nation!
Je me suis levé debout dans mon salon droit comme un chêne, la main sur le coeur. Les fesses serrées et les oreilles molles j'ai attendu de vivre une page d'histoire.
Le spectacle était gênant. Avec mes amis on appelle ça la « défloboxanie», c'est ce triste sentiment d'être mal à l'aise pour quelqu'un d'autre.
J'ai donc fait une crise de défloboxanie aiguë en voyant mon premier ministre implorer la pitié du peuple, ramper pour recueillir encore quelques semaines. Un homme au désespoir, voilà ce que j'ai vu.
Non M.Martin, on ne s'adresse pas à la nation pour des broutilles. Vous m'avez fait manquer Virginie et vous en paierez le prix aux prochaines élections!
avril 22, 2005 | Lien permanent | Commentaires (6)