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Commentaires

Pierre

Pourquoi ferait il mieut, depuis que j'ai quitté en 1987 le secondaire, rien n'a vraiment changé.

Alex B.

C'est certain qu'on peut comparer des jeunes qui qui étudient dans une école privée à St-Lambert à d'autres jeunes qui étudient au public dans Hochelaga.

Ce palmarès vaut ce qu'il vaut.

Alex B.

J'ai été au public et globalement la qualité d'enseignement était... très moyenne. (Il faut quand même avouer qu'il y a un problème)

Phil

Bon les Mourialait sont en train de nous faire chier avec leur commentaires épais.

Jean-Jacques

Si on prenait le 60% de subventions que le gouvernement donne aux écoles privées et qu'on le distribuait dans le secteur public; je sis presqu'assuré que la situation s'améliorerait dans le public.
Les parents qui envoient leurs envoient leurs enfants au secteur privé, devraient assumer 100% des coûts engendrés.

Alex B.

Le problème Jean-Jacques c'est qu'une subvention à 60% au privé est équivalente à une subvention à 100% au public parce que le privé n'a pas à assumer les cas plus lourds qui nécessitent une plus forte intervention de l'établissement. Donc ça coûte plus cher éduquer un jeune au secteur public.

40% de subventions au privé serait amplement suffisant.

Sébas

Jean-Jacques:

Nous pourrions aussi faire payer 100% des études à tout le monde, directement?

Ou si nous arrêtons de subventionner les écoles privées, nous pourrions redonner à ces parents l'argent qu'ils se font soutirer -de force- pour les écoles socialistes.

L'argent vient de nos poches ou du gouvernemaman ?

Jean-Jacques

@Sébas
Votre commentaire me rappelle ceux d'un certain animateur déchu de CKOI.Donc ce n'est pas une référence.
Je suis de gauche et j'en suis fier.

sebastien

Le problème de ces palmarès c'est qu'on compare des pommes avec des oranges. C'est différent entre une école privé et une école secondaire et ces différents d'une école secondaire à l'autre dépandament des secteurs, région, cartier. Bref je crois que le débat est tout autre.

Sébas

@ Jean-Jacques

"Je suis de gauche et j'en suis fier."

Je savais que vous alliez répondre quelque chose du genre. Une trappe à ours-de-gauche...
:-)

Les Suédois aussi sont social-démocrates et pourtant, ils donnent l'argent directement aux parents pour que ceux-ci choisissent eux-mêmes l'école de leurs enfants. La concurrence et l'émulation entre écoles fait en sorte que ce système est juste, mais TRES performant. Tout le contraire de notre système.

Alex B.

Le meilleur système d'éducation des pays Scandinaves est en Finlande, 15 élèves par classes, du soutien pour les élèves en difficulté, 1% de taux de décrochage et un taux d'alphabétisation de 100%, les repas à la cafétéria et les fournitures scolaires sont gratuites... 15 élèves par classe au primaire, 13 au secondaire.

Cette réussite est attribuable à l'abolition des écoles privées au pays.

Alex B.

Sebas : Les écoles privées au Québec sont DÉJÀ subventionnées et ça ne conduit pas à une amélioration de la performance dans les écoles publiques qui ne peuvent pas sélectionner.

100% de subventions au privé à condition que celles-ci ne peuvent pas faire de sélection. Dans le cas de la sélection, 40% (et je suis très généreux).

Alex B.

De plus, des études démontrent que plus la classe est grosse, plus un jeune venant d'un milieu défavorisé est discriminé dans ses chances d'obtenir un diplôme d'études secondaires et universitaire.

Dans un souci de justice sociale il faudrait réduire CONSIDÉRABLEMENT la taille des classes dans le milieux défavorisés (ramener la moyenne autour de 12-13 élèves par classe). Il y a une certaine volonté de la part de nos politiciens mais on ne va pas assez vite.

MasterJ

AlexB...ya d'autres études qui disent le contraire sur la taille des classes... Le problème est plutot sur la manière d'enseigner... Les meilleurs profs sont ceux qui savent garder l'intérêt de leurs élèves et qui savent donner plus d'un exemple pour un seul point.. Ce qui est très rare...

Sébas

@ Alex B on s'en calisse de tes commentaires de gauchiste et tes études de Merde...

Sébas

@ Alex B

Le sébas ci-dessus (octobre 24, 2010 à 11:55 AM), ce n'est pas moi.

:-)

Par contre, même si je ne m'exprime pas comme mon 'double', il faut dire que je suis aussi tanné que lui des étatistes, socialistes, syndicalistes, péquistes, péelquistes, bureaucrates et autres solitaires du Québec, qui veulent tout collectiviser, réglementer, contrôler, étatiser, surveiller, encadrer, subventionner, organiser, taxer et endetter...

***

En passant, dans votre "beau" système éducatif -socialiste- Finlandais:

-L'enseignement secondaire n'est pas obligatoire (point positif!)

-Il y a un surplus de diplômés universitaires = nette tendance à la hausse du chômage des diplômés universitaires...

-Manque de place dans les écoles professionnelles et donc pénurie de main-d'œuvre ouvrière comme celle des plombiers ou celle des ouvriers du bâtiment.

Source : Wikipédia

p.s.
En passant, en Finlande (ou ailleurs en Scandinavie) ce ne sont pas les syndicats ou les bureaucraties qui mènent la 'baraque'... mais les localités, les profs et les parents. Êtes-vous certain de vouloir voir cela apparaître au Québec ? En tout cas, les syndicats vont vous traiter "d'extrémiste de droite", si vous essayez d'implanter ça au Qc. :-)


Jean-Jacques

@sebas
Es-tu allé rencontré tes congenères samedi pm, moyen party.

Alex B.

Dans les pays scandinaves, se sont les syndicats qui gèrent les caisses d'assurance-emploi, ce qui empêche nos politiciens de piger dedans pour financer leurs politiques budgétaires de déficit zéro. Et le taux de syndicalisation dépasse les 80%. Ici on crie au meurtre avec nos 40% (dont peut-être 25% dans le secteur privé).

De cette façon l'argent versée par les travailleurs à la caisse retourne aux travailleurs, elle ne sert pas à financer des baisses d'impôts pour les entreprises (tousse)Maxime Bernier(tousse).

Et oui, je sais que ma présence n'est pas nécessairement supportée pas tous, mais je viens ici justement parce qu'il manque un certain équilibre. Entre temps je pourrais très bien vous laisser fantasmer en gang sur François Legault et Johanne Marcot mais je ne suis pas certain que ça serait une très bonne idée.

Comme l'a mentionné Jean-Jacques, je suis fier d'être de gauche, fier d'être social-démocrate et j'assume ma position politique jusqu'au bout.

Vous chialez contre la pensée unique dans les médias mais quand vient le temps de critiquer un peu vos idées, vous êtes les premiers à sortir le bâillon.

Sébas

Ce que nous pensons à propos d’un modèle suédois est daté et ne représente plus la réalité.

Le modèle admiré suédois est en fait abandonné dans les années 1970, précisément au moment où il a gagné sa renommée internationale et d’admiration. Ensuite, les taux les plus élevés du monde fiscal ont été introduits, en collaboration avec l’interventionnisme, notamment en matière de politique sociale et le marché du travail. Le résultat de cette expansion a été la crise lugubre du début des années 1990, avec de taux d’intérêts de 500 %.

Politiciens de tous bords, syndicats, représentants du public et du privé responsables sont arrivés à un compromis pour la mise en place d’un nouveau système.

Le corporatisme syndical est quasi inexistant. Le syndicats ne sont pas une force d'immobilisme/d'égoïsme comme ici. Les contrats de travail en béton "one-size-fits-all" ne sont pas signés au niveau national/sectoriel comme c'est le cas au Québec. Les travailleurs obtiennent des conditions minimales *flexibles*, ensuite ils peuvent négocier localement et/ou individuellement...

En Suède il est possible de prendre une assurance CHÔMAGE *privée* qui couvre 90% de son salaire pour 1 an, qui coûte environ 15$/mois. (montants exacts à vérifier)

Pour les retraites:

"Politiciens de tous bords, syndicats, représentants du public et du privé responsables sont arrivés à un compromis pour la mise en place d’un nouveau système de retraite basé autofinancé sur des comptes individuels avec un volet financé par la répartition et l’autre par la capitalisation et une forte incitation à travailler le plus longtemps possible.

Pour ce qui est des retraites, il n’y a pas de différences entre le public et le privé.
Tout le monde est logé à la même enseigne, pas d’iniquité entre le public et privé, pas d’iniquité entre les générations, car il est autofinancé.

Les prestations tiennent compte de l’espérance de vie, de la génération à laquelle appartient l’assuré ? De son âge au moment du départ en retraite et de l’évolution du PIB."

*

En Suède le taux de syndicalisation tourne autour de 90%, par contre;

-Peu de jours de travail sont perdus pour la grève. Il n’y a pas de salaire minimum légal.

-Contrairement à d’autres pays européens, les détaillants n’ont pas d’heures réglementées. En 2005, le gouvernement a aboli la taxe sur l’héritage et les dons. Swedish Competition Authority réagit vigoureusement contre les politiciens locaux qui limitent la pleine concurrence.

-En 1996, la Suède a déréglementé son marché de l’électricité, permettant la concurrence privée dans la distribution. Aujourd’hui, la moitié les centrales nucléaires sont détenues par des sociétés allemandes.

Télécommunications, services postaux et des transports publics ont largement été déréglementés, ouvrant de nouveaux marchés dans le privé. Les monopoles d’État ont été supprimés, et la compagnie de téléphone a été partiellement privatisée.

L’introduction d’un système d’éducation ouvert permet au parent de choisir l’école de leurs choix, créant ainsi une saine concurrence dans le milieu éducatif.

Pour les soins de santé, ils ont largement favorisé la venue du privé pour favoriser une saine concurrence, de plus Merci pour l’entente entre l’État, les médecins et les syndicats d’infirmières devant leur ouverture d’esprit. En fait, la plus grande urgence des hôpitaux de Stockholm, Saint- Göran , est une société privée cotée à la bourse.

La Suède a systématisé et généralisé la coexistence d’écoles privées et publiques,
en finançant totalement le privé. En 1991-1992, au moment de l’introduction de la
réforme, la Suède comptait 90 écoles privées, pour les élèves de six à 19 ans. En
2006-2007, le nombre d’écoles privées était passé à 900, soit dix fois plus en une
quinzaine d’années.

La Suède a réussi en même temps à apporter une réponse convaincante au problème de l’accueil des étudiants difficiles.

Ce système a complètement métamorphosé le paysage scolaire suédois.
Aujourd’hui, les citoyens ont accès à un vaste réseau d’établissements, publics et
privés, offrant des programmes et des méthodes d’enseignement très variés.

- En accordant aux écoles une très grande liberté de gestion et de définition
des méthodes pédagogiques, l’État leur a permis d’aménager des
programmes scolaires novateurs.

- De plus, la gratuité du privé a favorisé l'essor de nouvelles écoles plus
dynamiques dans des quartiers défavorisés.

Comme les écoles publiques, les écoles privées conventionnées sont totalement gratuites. De plus, la Suède a mis en place le « chèque éducation » en vertu duquel les pouvoirs publics s'engagent à financer la scolarité des enfants, qu'elle soit dispensée par un établissement public ou privé. À chaque enfant est attribué un montant individuel destiné au financement de sa scolarité.

Etc.

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