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La fin de Ste-Paupau???
Rédigé par : denden | octobre 18, 2010 à 02:35 PM
C'est quand même plate que Jonh James va s'en échapper grâce à cette réplique.
Rédigé par : Alex B. | octobre 18, 2010 à 03:52 PM
Depuis 1985, les gouvernements successifs ont eu recours au bâillon à 40 reprises. Les péquistes l'ont utilisé 28 fois et les libéraux 17 fois, si on compte le bâillon de la présente session. Ce sont les libéraux qui ont imposé un bâillon qui visait le plus grand nombre de projets de loi, soit 28 en 1992. Mais, lors de la session du printemps 2001, le gouvernement péquiste avait aussi fracassé un record: il avait imposé un bâillon pour neuf projets de loi qui comprenaient 800 amendements, dont 300 pour modifier le projet de loi sur les fusions municipales de Louise Harel.
Rédigé par : Joe | octobre 18, 2010 à 04:23 PM
source:
http://www.ledevoir.com/non-classe/43039/projets-de-loi-controverses-le-baillon-au-nom-de-l-urgence
Rédigé par : Joe | octobre 18, 2010 à 04:25 PM
Elle n'a dit que la vérité...nous sommes 7 millions dans une mer de plus de 330 millions d'autres origines.
Sommes-nous un petit peuple?
Rédigé par : Jean-Jacques | octobre 18, 2010 à 04:51 PM
René doit se retourner dans sa tombe en se moment
Rédigé par : Frédéric | octobre 18, 2010 à 04:59 PM
@Alex B. tu veux dire qu'il on enfin dit ce qu'ils pensais.
Le peuple selon eux ne sont pas capable de se débrouiller par eux même. Le gouvernemaman va s'en occuper...
Rédigé par : Keven Gélinas | octobre 18, 2010 à 05:21 PM
Mais dans le cas de la préservation de la langue c'est vrai qu'on doit recourir à l'État pour permettre une meilleure intégration des immigrants à la société d'accueil.
J'habite dans Côte-des-neiges (en ce moment) et je vais vous dire, l'équilibre est fragile. La pire chose qui pourrait arriver c'est le désengagement de l'État.
Rédigé par : Alex B. | octobre 18, 2010 à 06:51 PM
LOL!
C'est quoi exactement une langue? Ca vaut quoi? Si les quebecois veulent parler du chinois c'est leur affaire, pas ce du gouvenement, mais evidemment l'histoire des derniers 400 ans montre que ce n'est pas le cas!
Rédigé par : Cyrus | octobre 18, 2010 à 07:14 PM
Je me roule par terre juste à voir la face à Pierre Curzi! Great job again Y
Rédigé par : Sismik | octobre 18, 2010 à 07:39 PM
Mme Marois ne.... touche jamais les vrais points. Malheureusement... ce qui se passe est triste... bcp plus grave que les nordiques ! aucune mobilisation cependant.
Rédigé par : DomageModit | octobre 18, 2010 à 08:55 PM
C'est vrai que c'est grave...400ans entouré d'anglais et on parle toujours français... La seule raison de la diminution du % de français au Québec (pour un pas dire Montréal), c'est le trop faible taux de natalité et rien d'autre...
Rédigé par : MasterJ | octobre 18, 2010 à 09:47 PM
@Alex B.
1 le francais n'as pas besoin d'être proteger encore moin d'être forcer
2 si les gens ne ressente pas plus d'attachement a leur langue qui est seulement utilisé ici selon toi est-ce toujours dans notre culture?
3 si une langue a besoin d'être protégé est-ce que c'est un signe qu'il faut passer a autre chose?
Rédigé par : Keven Gélinas | octobre 18, 2010 à 09:56 PM
@Keven
Faire ça serait mettre une croix sur 400 Ans d'histoire, d'un combat qui n'est pas terminé, d'un combat qui a commencé il y a bien longtemps, entre notre peuple francophone et nos envahisseurs Anglais.La guerre est terminé, mais le combat est toujours actif. Si le village d'Astérix c'était dit, devenons romain, faisont comme tout le monde et évoluons dans le même sens, pense tu qu'astérix réflèterais, la force, le courage et la persévérance, il serait un lacheur qui c'est plier à genoux devant César. Enlever la loi 101 serait la pire erreure du Québec et j'accepterai jamais que ça se passe.
Rédigé par : Mathieu V.R | octobre 19, 2010 à 12:13 AM
@ MasterJ :
Le Français a été sauvegardé depuis 400 ans parce qu'on avait des organisations pour nous défendre ...
L'Église avant 1960, l'État après la révolution tranquille.
Maintenant si on veut amorcer un désengagement de l'État, il faudra accepter de se faire assimiler de 30% par génération, il faudra accepter de crever à petit feu.
Le problème des écoles passerelles c'est un problème qui est essentiellement montréalais et je ne vois ce que quelques prétencieux de Québec (désolé Ygreck mais ta caricature laisse entendre comme message que Marois devrait fermer sa yeule) essayer de faire passer les défenseurs du français pour des fascistes, moi je ne le prends pas. Allez donc vivre 1-2 ans dans Notre-Dame-De-Grâce/Côte-des-neiges et venez me dire après ça que l'État doit laisser aux nouveaux arrivants le choix d'aller à l'école qu'ils souhaitent... Entre temps arrêtez de parler à travers votre chapeau.
L'école française c'est probablement la seule chance pour les nouveaux arrivants de s'intégrer correctement à la société d'accueil.
C'est juste du Gros Bon Sens.
Rédigé par : Alex B. | octobre 19, 2010 à 12:32 AM
Très bonne caricature :-)))
@ Alex B.
On a seulement à baisser le taux d'immigration (comme l'a fait Trudeau -qu'on ne peut accuser de racisme- au début des années 80), et "scrapper" TOUS nos programme$ (coût annuel: 10 000 000 000 $), de -soi-disant- natalité (qui sont en réalité des programmes de retour au travail et qui font -à terme- baisser le taux de natalité), et vous allez voir que;
1/
le taux de natalité va augmenter en "siouplait", comme en Alberta, Saskatchewan ou Manitoba, qui eux, n'ont pas tous ces programmes (mais pour ça, il faut être capable de remettre en question certains dogmes socialistes/étatistes);
et
2/
les immigrants (moins nombreux), vont s'intégrer pas mal plus facilement au restant de la société.
Le Québec a présentement un des taux d'immigration les plus élevés au monde. Rien ne justifie ça, à part peut-être pour donner plus de votes à Charest? ;-)
Trop d'individus pensent que l’immigration massive et incontrôlée actuelle est une/la solution à plusieurs de nos maux et/ou un remède pour sauvegarder « l’état-dépendance » (i.e. nos programmes sociaux ou « acquis » -sic- sociaux).
C'est un cercle vicieux et/ou c’est tout le contraire, car cette immigration massive actuelle, fait;
1/
vieillir la population;
2/
elle exerce une pression financière -négative et incroyable- sur ces programmes (et les immigrants vont aussi devoir en subir les conséquences);
3/
fait baisser les salaires de tous (immigrants ou non).
Rédigé par : Sébas | octobre 19, 2010 à 05:32 AM
p.s.
Avant de *réagir* de façon dogmatique (?):
Dites-vous bien que je peux fournir -sur demande et de façon polie- des analyses, des statistiques, des faits, des articles, etc, qui corroborent les faits contenus dans mon dernier commentaire.
;-)
Rédigé par : Sébas | octobre 19, 2010 à 05:38 AM
Mathieu V.R: lache moi tes réaction de "petit peuple" anglophobe.
Les anglophone nous ont donné la liberté de presse ce que les francais nous interdisais.
Il nous ont aider a construire de vrai ville ce que les francais nous avais laissé ici a nous même. Pour ce qui est des anglais, nous ne sommes pas francais les québecois sont un mélange de culture anglophone et francophone, donc refuser la culture anglophone c'est refuser une très grande partie de notre culture.
Je comprend qu'on doit être fier de notre langue cela n'inclus pas de dénigrer les autre langues. Plusieurs pays favorise le bilinguisme et c'est avantageux pour notre intelligence.
http://news.discovery.com/human/bilingualism-language-brain-function.html
Rédigé par : Keven Gélinas | octobre 19, 2010 à 05:54 AM
Jean-Jacques a raison sur le fond, me semble-t-il.
Sur la forme de la déclaration de madame Marois, je ne vois pas à redire non plus. Il me semble qu'on objecte à ses propos un argument de rectitude politique : elle a dit «nain» plutôt que «petite personne».
Mais bon, je suis quelque peu rigoriste sur le poids des mots et viens d'écouter Entre les murs où un prof se fait clouer au piloris parce qu'il reproche à deux de ses élèves de s'être «comportées comme des pétasses» et que tout ce qu'on retient c'est qu'il a traité ces filles de «pétasses», comme si ce n'était que les cons qui faisaient des conneries...
Sur le fond encore, je dirais que ce n'est pas parce que nous sommes petit que nous sommes condamnés à la petitesse et ne pouvons réaliser nos idées de grandeur (et je ne crois pas que c'était ce qu'elle sous-entendais, bien que j'adore la voir dire n'importe quoi!)
Rédigé par : Sébastien Lavoie | octobre 19, 2010 à 06:46 AM
J'oubliais ma conclusion :
«Petit peuple»
n'égale en rien :
«Peuple petit»
Rédigé par : Sébastien Lavoie | octobre 19, 2010 à 06:49 AM
L'enjeu là-dedans, ce n'est pas de se faire assimiler ou de perdre notre langue, l'enjeu c'est de garder le peuple unilingue le plus possible pour mieux le gouverner.
Combien de Québécois n'ont jamais envisagé une carrière à l'extérieur du Québec en raison de la langue seulement? Combien de Québécois doivent prendre leur information dans les 2-3 médias francophones qu'on a alors qu'il y en a des milliers d'autres en anglais partout dans le monde qui offre une variété et des ouvertures différentes?
Le PQ est mort la journée où une majorité de Québécois devient bilingue et que le banquier n'a plus que 200,000 spectateurs le dimanche soir.
La langue va rester un bien culturel des Québécois, mais l'important quand on y pense, c'est d'être capable de communiquer et présentement, une majorité de Québécois en est incapable avec l'extérieur de sa province. C'est un handicap majeur à notre développement en tant que société, mais c'est aussi la seule façon pour le PQ de survivre...
Le jour où on arrêtera de voir les anglais comme nos ennemies, on fera vraiment du progrès. D'ici là, on regarde le train passer et on le trouve tannant parce qu'il fait du bruit. Quand on le verra finalement s'éloigner au loin et que le silence reviendra, on se sentira bien seuls dans notre petit village gaulois.
Rédigé par : JP Lambert | octobre 19, 2010 à 10:11 AM
@
J.P.Lambert.
D'accord avec toi.
Le jour ou tous les Québécois parleront aussi bien l'anglais que le français
les terribles envahisseurs anglais
auront plus de respect envers nous tous.
Rédigé par : Général Lee | octobre 19, 2010 à 10:30 AM
Comment peut-on en arriver à favoriser la conservation du dialecte québécois en l’imposant aux parents et futurs enfants ?
Ne devrions nous pas prioriser la qualité de l’enseignement avant tout ?
Et puis, pourquoi se limiter à un seul dialecte. Je suis d’accord avec Popo, nous sommes peu nombreux alors nous devons impérativement favoriser un enseignement qui prépare nos enfants à performer en dehors du québec… question de statistiques…
Rédigé par : David Labbé | octobre 19, 2010 à 11:49 AM
Elle parlait du 2% de merde que nous représentons en Amérique du Nord!!!
Hé, ho, nous sommes la diversité de l’Amérique du Nord!!! Il incombe, donc, aux Anglais de vivre avec nous et non pas à nous de vivre avec eux!!!
Tant que le Québec ne sera pas un pays et tant qu’il sera soumis au contexte politico-juridique actuel, je préférerai toujours brimer une liberté individuelle (la liberté d’étudier dans la langue que l’on veut), plutôt que de risquer d’assister à la fin du fait français en Amérique du Nord!!!
Les projets de loi que le PQ avait présenté, en 2007, constituaient un bon début (après tout, une citoyenneté, ça se mérite), mais on sait tous et toutes que, pour le moment, la priorité est d’appliquer la Loi 101 aux CPE, de même qu’aux écoles primaires, secondaires, collégiales et universitaires anglaises non-subventionnées!!!
Je suis Québécois et j’ai trop de respect pour la langue que mes ancêtres ont tant protégé, de hautes luttes et, parfois, même, au péril de leur propre vie, pour moi et pour les générations futures, pour la voir disparaître de cette façon-là et, qui plus est, par un jugement du gouvernement non-élu des juges du KKKanada multiculturaliste de Pierre Elliott Trudeau!!!
Ce jugement de la Cour suprême, devant lequel le gouvernement de John-James Charogne s’est agenouillé, telle la digne carpette qu’il est, est le premier pas vers l’étatisation du bilinguisme au Québec, ce qui constitue toujours, partout où le bilinguisme a été étatisé, au premier pas vers notre assimilation dans la langue de Mordecaï Richler et, donc, à la concrétisation du rêve de Lord Durham, nous, «peuple sans Histoire et sans littérature»!!!
En passant, même René Lévesque n'était pas certain de notre statut de grand peuple, même moi, quelques fois, j'ai des doutes!!!
Le «On n'est pas un petit peuple, mais un grand peuple» ne vient pas tout seul!!! Il vient, aussi, avec le «peut-être quelque chose comme»!!!
Rédigé par : Jean-Luc Proulx | octobre 19, 2010 à 12:39 PM
Jean-Luc, si tu aimes ta langue autant que tu le prétends, c'est la moindre des choses que tu l'écrives correctement. C'est-à-dire sans faute.
Rédigé par : clau(dit)lablondinette | octobre 19, 2010 à 12:46 PM
Jean-Luc, Jean-Luc... Durham a dit que les colons de la Nouvelle-France était sans culture puisque la Mère-patrie en voulait ainsi et c'était vrai... La France diriger par l'Église, ne cherchait que richesse a exploité ainsi que son petit peuple, quoi de mieux que de le garder ignare pour mieux le contrôler... Durham a fait état de cette triste vérité dans son rapport et il voulait faire disparaître les dogmes encrés dans la tête des colons. Si tu ne me crois pas, tu peux aller lire le rapport qui est disponible en entier sur internet (malheureusement pour toi il est en anglais)... tout ce que nos bon petits souverainistes ont faits, c'est de prendre un petit bout de ce rapport pour endoctriner le Québec en entier et quoi de mieux que de le faire lors de l'adolescence...
Rédigé par : MasterJ | octobre 19, 2010 à 01:14 PM
2% en amérique du Nord, ça veux absolument rien dire, on pourrait aussi dire 0,000001% de la population mondiale, ca ne rend pas l'argument plus valide. La langue parlé au Texas ou en Californie n'a aucune influence sur notre langue ici.
Limiter les libertés individuelles pour le bien de la "nation" c'est que la plupart des dictateurs ont fait au début. En commencant par Hitler.
Rédigé par : christian rioux | octobre 19, 2010 à 01:35 PM
@Christian et autres
et bien ca
Notons bien qu'au Alberta, les parents ont le choix d'envoyer leurs enfants aux ecoles anglophones ou francophones (et anglo catholique...) Il y a un penurie d'espaces dans le systeme francophone, car trop d'anglos veulent y inscrire leux enfants (et disons que l'exode des Quebecois vers l'Alberta joue un certain role)... cependant, il n'y a personne au Alberta qui joue le carte xenophobique qu'ils doivent restriendre l'acces au ces ecoles!
Rédigé par : Cyrus | octobre 19, 2010 à 07:53 PM
@ Cyrus
Bien dit! on devrait etre bi-lingue! j ai des amis que leurs enfants parlent 2 ou 3 langues!...si les quebequois etaient bi - lingue , ils auraient le choix de regarder les medias englos et se faire une idee ...non pas se la faire imposer!
En passant , la gang de red-neck de l alberta a elu un maire aujourd hui a Calgary ! UN MUSULMAN (east indian)! pas si red neck que ca finallement!
desolee pour mes fautes de francais...j ai pas ete gatee au secondaire cote prof de francais! ...c est peut etre la qu il faudrait commencer ...a l ecole , avoir des profs qui sont competent, et apprendre le francais en meme temps que l anglais!
Rédigé par : Dan | octobre 19, 2010 à 08:52 PM
Bref... voila ce quelle aurait du dire ! lol
dire que nous sommes un grand peuple.. important pour la diversité de l'Amérique.. Unique, Essentiel, Avant-gardiste... que c'est une belle histoire que notre français existe encore! et finalement..... ne serons-nous pas toujours amis avec la France et la Francophonie pour cette raison?....
Le Canada et le Québec lui-même devrait honoré cette lutte qui a toujours été présente.. et la prendre comme un trait de caractère inédit. La négativité constante de Mme Marois détruit le Parti Québécois :(
Rédigé par : DomageModit | octobre 19, 2010 à 09:25 PM
JLP es tu en train de dire que pour tes conviction c'est pas un probleme de détruire le souhait de 80% des québecois (selon les dernier sondage sur l'éducation bilingue)?
Une éducation saine te donne le plus de moyen de réussir pas profiter a tes convictions.
et j'espère que tu sauras comprendre que de te limmiter a apprendre le francais te limmite a tes petit media locaux tes petite source d'information tes petite mentalité refermer sur nous même.
en fait je crois que je suis de plus en plus d'accord avec Pauline le québec est vraiment un petit peuple.
Je connais justement plusieur personnes ontarienne qui étudie dans des école francophone en majorité. Ils ont le droit eux. Je ne voit pas pour qu'elle raison on doit nous bloquer ce privilège.
Rédigé par : Keven Gélinas | octobre 19, 2010 à 09:47 PM
C'est plus facile de faire paraître les anglos comme étant méchant en ayant un peuple unilingue, plus facile a contrôler comme l'Église l'aimait... Un bon petit peuple replier sur lui-même pauvre d'esprit, simplet et sans ambitions... Après cela, ils veulent un pays qui va devoir faire affaire avec des pays anglophones, ca va être beau des négociations avec des yes, no, toaster...
Rédigé par : MasterJ | octobre 19, 2010 à 11:48 PM
Pour ceux qui peuvent le lire... enfin un article qui analyse les faits et conséquences de nos actions. Ça fait différent de nos journaux qui se concentre sur les déclarations de politiciens/activistes pour créer un "débat" et oublient d'analyser les impacts de telles décisions.
http://fullcomment.nationalpost.com/2010/10/19/tasha-kheiriddin-quebecs-language-law-obsession-shortchanges-real-priorities/
Rédigé par : JP Lambert | octobre 20, 2010 à 12:55 AM
JP Lambert...ils vont nous dire qu'on est rie=che au Québec...
Rédigé par : MasterJ | octobre 20, 2010 à 01:24 PM
rieche = riche
Rédigé par : MasterJ | octobre 20, 2010 à 01:24 PM
Dire que nous sommes 2% en amérique du nord serait valable si nous étions réparti a la grandeur du continent, ce n'est pas le cas, nous sommes donc 80% de francophones au Québec, et ça n'a pas changé depuis des décennies.
Rédigé par : christian rioux | octobre 22, 2010 à 07:58 AM